Amalia Taylor

Je sais que la première démarche de recherche d'aide n'est jamais évidente. On y pense parfois depuis longtemps, on se dit à l'occasion qu'il est plus que temps. Puis on hésite quand même à appeler.

Pourquoi consulter ? Que va-t-elle penser ? Je vais passer pour quoi ?

On y arrive parfois parce qu'on est poussé dans le dos par des proches, par un médecin. C'est parfois une chance d'avoir été poussé car ça donne l'opportunité d'une rencontre qui peut faire la différence. Aujourd'hui, un suivi psychologique n'est plus associé à « passer pour un fou » ou « faire aveu de faiblesse ». Aujourd'hui, beaucoup s'accordent à penser que le bien-être, l'équilibre, prendre soin de soi, ça ne coule pas toujours de source, ça nécessite du temps et de l'attention.

Trouver un lieu pour parler et réfléchir c'est ça. Chercher du sens, de l'apaisement, se retrouver, évoluer, penser la suite...

Je reçois toute personne en questionnement sur sa vie, son équilibre, son fonctionnement actuel ou passé. Certaines personnes viennent sans question précise, avec le sentiment encore flou que quelque chose pourrait fonctionner mieux. D'autres personnes s'adressent à moi du fait de difficultés ou questionnements plus spécifiques : difficultés relationnelles, anxiété, dépression, mésestime, troubles de l'humeur, évènements bouleversants voire traumatiques, parentalité, troubles du comportement, conduites addictives, somatisations, difficultés professionnelles, envies de changement, envies de retour à soi.

Les premières rencontres permettent de faire connaissance et d'explorer ce qu'un travail ensemble pourrait vous apporter.